La pauvreté peut conduire certaines femmes à renoncer à l’achat de protections périodiques ou à prendre des risques pour leur santé en les portant plus longtemps que ce qui est recommandé. Par ailleurs, la majorité des protections hygiéniques utilisées sont des protections jetables, source de pollutions environnementales. Si une partie des femmes souhaite utiliser des protections plus respectueuses de l’environnement et de leur santé, leur coût plus élevé peut constituer un frein à l’achat de ces dispositifs.
Les préconisations du rapport sont formulées indépendamment de la position du ministère. Travaux menés par un groupe d'élèves de la 62e promotion de l'EN3S : Delphine BOUGASSAS-GAULIER, Apolline BOURBIER, Ségolène DARY, Madeleine GROSSIN, Jean-Baptiste LEZAT-EIFFEL et Clémentine PFIRSCH.